Machine à vœux

/ y'a qu'à

... je suis son travail depuis bientôt dix ans et il ne cesse de m'étonner. Je l'ai connu comme inventeur d'ustensiles poétiques et ludiques (...), puis comme décrypteur des gestes quotidiens qu'il essaie de piéger dans des œuvres qui sont autant de miroirs déformants ou autocritiques de nos attitudes, ou encore de cette incontournable "machine à souhaits" qui a aidé les Bordelais à passer le cap du millénaire...

Michel Ellenberger, novembre 2001.

photos Laurent Gueneau